Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 13 ans
Il y avait une demi-heure à peine qu'Anne était dans cette cellule, et c'était déjà pour elle une éternité. Deux mètres sur deux, murs en béton de décoffrage, porte en acier, le tout complété par un éclairage puissant, aveuglant, et surchauffant, qui transforme ce réduit minuscule en étuve, en enfer ...
Pourquoi a t-elle été arrêtée? Que va t-il lui arriver ? Que va t-on lui demander ? Impossible de savoir,impossible de réfléchir, cette sono lancinante, faite de cris, de râles, de hurlements, l'empêche de réfléchir.
Une clef s'introduit dans la serrure,la lourde porte s'ouvre. Deux hommes en uniforme pénètrent dans sa cellule, très jeunes, presque des gamins ...
«Ca va être à vous ! », lui dit-on en la saisissant brutalement par le bras.
«Où m'amenez-vous ? », hurle Anne.
«A l'interrogatoire ma belle !!! Tu vas voir, tu vas tout nous dire, même ce que tu ne sais pas ....T'as de la chance, le Commandant est justement fort branché sur les putes dans ton genre, les pouffes mûres BCBG, il adore ...Et y a pas que lui... Tu vas voir,tu vas te régaler.»
Anne est totalement paniquée, cette prison a très mauvaise réputation . Ces deux salauds ne bluffent pas, ça va réellement être sa fête.
Le petit groupe descend un court escalier qui les conduit droit sur une porte blindée. Le chef frappe de son poing sur la porte.
«C'est quoi ?» répond une voix étouffée par l'épaisseur de la porte. «On amène la cliente» répond le garde.
«Ah oui. Un instant. J'ouvre !»
Anne entend que l'on manipule le lourd mécanisme de la porte blindée. La porte s'ouvre. Décor sinistre ici aussi ; comme sa cellule, les murs ici aussi sont en béton de décoffrage, mais la pièce est plus vaste, sans être gigantesque pour autant : 8 mètres sur 8 très probablement. En réalité, il ne s'agit pas d'une pièce, mais de deux pièces accolées l'une à l'autre.
Dans la première pièce, un superbe bureau de direction, moquette au sol, et trois luxueux fauteuils. Un bar, une sono et un canapé en cuir 5 places avec repose pieds complète l'ensemble.
Dans la seconde pièce, le décor est sensiblement différent : un peu partout, au sol, sur les murs, au plafond, de solides anneaux, des poulies, des mouffles, des cordes ....
Sur un mur,une gigantesque et solide croix de Saint André en bois massif côtoie une tout aussi imposante croix Grecque.
Dans un coin des instruments inquiétants :fouets ,pinces, etc...
Ailleurs encore des instruments plus conventionnels : des godes de toutes tailles, des baillons, des menottes....
Au centre une ancienne table de gynéco un peu remaniée ...
Dans cette demi-pièce, les murs sont tapissés de miroir style «école de danse», renvoyant à l'infini le moindre détail. L'éclairage est adapté en conséquence et il ne gène en rien les prises de vues.
L'officier responsable est grand et sec. Il se fait appeler le «Commandant», sa réputation n'est plus à faire....Il est superbe dans son uniforme noir, il n'est pas très âgé : la trentaine à peu près...Son air est méprisant et très sévère .
A ses côtés, Sophie qui fait office de secrétaire-greffière . Son uniforme noir et ses bottes de cuir lui vont à ravir. La quarantaine rayonnante, elle sue le vice par tous ses pores.
Les deux très jeunes soldats qui ont été chercher Anne dans sa cellule restent dans la pièce, ils assurent la sécurité, ils sont aussi en stage chez le Commandant.
L'officier lève à peine la tête sur Anne, et il appuie tout de suite sur le bouton de l'interphone : «l'identité judiciaire» dit-il d'une voix ferme. Quelques secondes plus tard, on frappe à nouveau à la porte. C'est l'identité judiciaire ; un homme, la quarantaine, bardé d'appareil photos.
Il regarde Anne de façon méprisante.
«Bon ! Vous êtes tous là ! L'interrogatoire va pouvoir commencer,» dit l'officier en prenant place derrière son bureau et en se servant un plantureux Cognac dans un énorme verre ballon. Les interrogatoires...il a beau faire ça tous les jours...ça le tue....
«Nom, prénom, age , profession ?»
«Anne Demesmaker,41 ans ,directrice d'école.»
«Pourquoi avez-vous été arrêtée ?»
«Je n'en sais rien,j'étais chez moi,je m’apprêtais à partir au bal du maire, et deux individus armés ont fait irruption chez moi. J'ai été menottée, ils m'ont bâillonnée et embarquée de force dans leur fourgon.»
«Je vois, je vois ... Article 58.... Arrestation classique ...Et vous n'avez vraiment aucune idée sur les motifs de votre arrestation ?»
«Non, aucune !»
«On cherche ton mari,salope !!! Il a disparu et tu vas nous dire où il se trouve !!!.»
«Je n'en sais rien !»
«Bon,bon... Ce n'est pas grave....Vous ne pouvez vraiment pas vous imaginer à quel point la thérapie appliquée ici est bonne pour la mémoire et la réflexion...»
«Commençons par le commencement.» dit soudain l'officier sur un tout autre ton .
«Déshabille-toi !»
«Comment ?»
Au même instant, Sophie jusqu'ici muette, lui assène une gifle magistrale avec ses gants de cuir souple.
«Déshabille-toi ! T'as pas entendu ce qu'on te demande ? A poil salope !»
Anne vacille un moment sous la gifle et l'insulte, puis voyant les regards figés de l'assistance, elle comprend qu'il faudra s'exécuter.
Elle n'a pas grand chose sur elle ; sa robe du soir noire et ses sous-vêtements assortis, elle s'était habillée pour une réception...
Anne commence par dégrafer sa robe. Elle la fait glisser à ses pieds, dévoilant ses superbes sous-vètements...Son mari a toujours été un horrible fétichiste ... Avec des sous-vêtements pareils,ça ne va pas arranger les choses se dit Anne...
Le photographe lui, n'en perd pas une !
«Le slip maintenant !»
Anne s'exécute, le slip tombe à son tour dévoilant un pubis entièrement rasé, une autre lubie de son mari.
Anne est rouge de honte : être ainsi nue et sans défense devant tous ces gens qui ricanent, pire encore, en soutien et porte-jarretelles, le pubis rasé.... La honte dans toute son acceptation !!! L'humiliation totale !!!
«Le soutif salope !»
Une nouvelle fois Anne s'exécute, tentant de masquer son imposante poitrine de ses mains.
«Les bras le long du corps ! », reprend Sophie d'une voix sévère .
Anne vaincue,laisse retomber ses bras,offrant toute la vision de son corps à ses bourreaux.
Le photographe et les jeunes soldats n'en ratent pas une ...Une énorme boursouflure marque leur entrejambes ....
Sophie s'adresse maintenant aux soldats : «Les bracelets, et sur la une avec les écarteurs» .
Sans attendre plus de précisions, les deux soldats s'emparent d'Anne qui tente vainement de se débattre.
Ils ont rapidement fait de lui fixer aux poignets et aux chevilles 4 solides liens de cuir munis chacun d'un gros anneau. Ils fixent ceux des poignets à un crochet qui pend du plafond et manœuvrent un treuil qui a pour effet de tendre ses bras vers le haut. Au tour des chevilles maintenant ... Malgré ses coups de pieds désordonnés, Anne ne parvient pas à les empêcher de se saisir de ses chevilles et de glisser une corde dans les anneaux des bracelets. Ils s'empressent de fixer cette corde à 2 anneaux fermement fixés au sol et disposés de part et d'autre de leur victime. Anne est maintenant entièrement à leur merci . Avec un sourire sadique, et sans la quitter des yeux, ils écartent maintenant lentement les jambes de la femme...
«Ni trop, ni trop peu...la vulve doit être aisément accessible, mais l'ensemble doit conserver encore un caractère esthétique.» précise Sophie.
Vu la facilité avec laquelle ils opèrent, Anne comprend que ce n'est certainement pas la première fois qu'ils font ça. Elle offre à ses bourreaux une image inoubliable : une superbe bourge de 40 ans, en porte-jarretelles et talons aiguilles, les seins nus et le pubis rasé, entièrement offerte à tous leurs caprices ...et des caprices...visiblement ils en ont...
Sous le prétexte de s'assurer de la solidité du « montage», les deux soldats patrouillent son corps sans défense et passent tour à tour leur mains dans sa vulve, une vulve qui, à la plus grande honte d'Anne, est déjà copieusement trempée ... Les soldats un sourire au lèvre et en la fixant dans les yeux, lui mettent leurs doigts mouillés de cyprine en bouche ...
Sophie s'approche maintenant,un sourire mauvais aux lèvres,et une cravache à la main...
«Que crois-tu qu'il va se passer maintenant salope ?»
«Vous allez me fouetter.»
«Connasse, apprends d'abord que ceci n'est pas un fouet mais une cravache ! Tu auras ici tout loisir d'apprendre les subtiles nuances entre les fouets, les martinets, et les cravaches ... Ensuite on ne t'as pas mise ainsi pour quelques coups de cravaches..Et là, tu n'es pas encore tout à fait prête pour la suite. Les pinces, vous autres !»
Sans se faire prier les deux soldats vont chercher dans un grand coffre une boite de pinces en bois, de vulgaires pinces à linge, mais qui dans un soucis de raffinement esthétique, ont été soigneusement peintes en noir.
«Les seins et toute la crête mammaire ! »
Les deux soldats ne se font pas prier ...Après lui avoir soupesé ses superbes seins plus que de nécessaire, ils commencent par installer chacun une pince sur un mamelon. Ils se reculent pour juger de l'esthétique de la chose... En connaisseurs, et toujours sans un mot, ils prennent maintenant chacun 4 pinces qu'ils disposent en quadrant sur l'aréole, tout autour de la première .
Anne se mord les lèvres, la douleur devient intense, elle a envie de hurler.
Les deux soldats s'en rendent comptent et sournoisement ils tentent de la distraire en passant la main sur ton son corps, sans oublier bien sur sa vulve et son clitoris. Le mélange de douleur et de douceur, il n'y a pas mieux pour faire parler les plus réticentes... C'est la première chose qu'on apprend ici....
Une nouvelle fois, ils se reculent. Le spectacle est touchant. Le photographe n'en perd d'ailleurs pas une : gros plan sur les seins torturés, gros plan sur la bouche d'Anne qui s'efforce de retenir un cri, gros plan sur ce corps,maintenant couvert de sueur...
Anne croyait qu'ils en avaient fini, mais non. Ses bourreaux replongent dans la boite et en retirent encore une vingtaine de pinces ... Que vont-ils encore lui faire ?
Toujours sans un mot les deux soldats commencent par lui caresser délicatement les flancs jusqu'à ce que,de toute évidence,elle soit bien réceptive... C'est alors qu'ils entreprennent de lui fixer chacun, du creux axillaire à son pubis, une dizaine de pinces ...
Anne se tord de douleurs, si tant est qu'elle le puisse, vu la limite de liberté imposée à ses mouvements ...
Sophie s'approche en se déhanchant de façon hautaine et provocante ...Elle est superbe elle aussi, sanglée dans son uniforme et elle apprécie le tableau en connaisseuse...
«Tu sais ce qui va t'arriver maintenant ?»
«Non, nooon.» dit Anne dans un gémissement .
«Tu souffres hein ?»
«Oui,oui....»
«Tu voudrais qu'on t'enlèves ces pinces ?»
«Oui,oui... Pitié, murmure Anne dans un souffle ....Ca fait très mal...»
«Commandant ! Elle est à vous ! Cette salope est à point !»
Le Commandant se lève, il titube quelque peu..il n'en est plus à son premier verre..la bouteille de Cognac est déjà sérieusement entamée ....
Il se campe devant la suppliciée, la cravache à la main, les mains derrière son dos .
«Tu penses que tu as assez souffert ?»
«Oui,ouiiii» ,fait Anne suppliante ....
«Oui,qui ?»
«Oui, Commandant !»
«J'aime mieux çà ! Où est ton mari ? »
«Je ne sais pas ! » répond Anne dans un sanglot.
«Bon, ainsi soit-il .... Je vais t'ôter tes pinces ...Je vais les ôter avec ceci !» dit-il en brandissant la cravache sous le nez de la femme terrorisée .
«Mais au paravent,je vais d'abord procéder à quelques vérifications ....Tu mouilles ?»
«Oui» réponds Anne dans un mélange de honte et de souffrance .
«Beaucoup ?»
«Je ne sais pas !»
«Je ne sais pas... qui ?»
«Je ne sais pas, 'Commandant' !»
«Bon, alors tu ne me laisse pas le choix,je dois vérifier.» Dans le même mouvement, le commandant plonge sa main dans le vagin de la femme martyrisée, et la ressort aussitôt trempée.
«Bien,bien...Voyons le reste à présent.» dit il en lui caressant délicatement tout son corps du revers de sa badine ....
Le corps d'Anne se tend sous la caresse . Malgré elle, elle mouille sérieusement et en dépit de ses liens, elle tente de mobiliser son pubis à la recherche d'un improbable orgasme.
«Je vois,je vois..» dit le Commandant en connaisseur ...
« Pique fesse » ! dit- il en se retournant brutalement vers ses deux soldats .
Aussitôt, on lui apporte un solide gode anal. Il s'en saisit et le plante brutalement, sans difficulté aucune, dans le vagin de la malheureuse. Il le ressort tout aussitôt, trempé de cyprine....
«Ca ira comme ça. Aidez-moi vous autres !» dit-il en se retournant à nouveau vers ses hommes .
Aidé de ses deux soldats qui écartent largement les fesses de la femme, il a tôt fait de lui enfoncer le gode dans le cul . Le resserrement à la base de l'engin lui garantit une bonne fixation et une paire de lanières passées autour de la taille d'Anne lui ôte toute possibilité de rejeter cet objet qui lui distend l'anus. Le tableau de cette superbe femme écartelée et enculée avec ce gode est à la fois captivant, ridicule, et déshonorant même pour la femme ...
Prenant un léger recul,le commandant y va de ses commentaires ironiques et blessants....
«Vous êtes splendide ma chère, ravissante même...»
Le photographe lui , en est déjà à son quatrième rouleau de pellicules...
Le Commandant passe maintenant à l'étape suivante ; avec sa cravache,il s'attarde sur chacune des pinces,qu'il fait osciller et vibrer à son plaisir . Anne ne gémit plus,elle hurle de douleur....
«Ca ne peut plus durer !» dit le Commandant. «Impossible de travailler convenablement dans ces conditions ..!.Bâillon !» dit-il en se retournant vers ses hommes avec un air scandalisé .
Aussitôt,un des gardes lui apporte une balle de caoutchouc noire munie de deux lanières de nylon .
En un tour de main professionnel, le Commandant adapte et ajuste ce bâillon à la femme dont on n'entend maintenant plus les cris...tout au plus quelques gémissements ...bien agréables à l'oreille,il faut bien l'admettre...
Anne n'en peut plus,sa tête est retombée sur son torse,elle est presque inconsciente elle s'effondrerait si elle n'était pas solidement liée.
Le Commandant en bon professionnel sait qu'on ne peut pas continuer comme çà. «Sels» hurle t-il !
Aussitôt Sophie lui apporte un petit flacon ...de l’ammoniaque... rien de tel pour réveiller les défaillantes .. bien plus efficace que le seau d'eau glacé, plus propre pour la pièce, et en plus ça ne gâche pas le maquillage...il faut penser à tout ...et à tout le monde...le personnel d'entretien et le photographe...
A peine le flacon promené sous son nez, Anne ressent une vive douleur qui lui traverse de façon fulgurante les sinus et le crâne . La douleur est très courte,mais très intense. Elle est complètement réveillée maintenant... La séance va pouvoir continuer...
Le Commandant la toise maintenant d'un air supérieur ,et c'est sur un ton narquois qu'il lui dit : «Madame est prête ? »
Sans attendre sa réponse, il lui assène une frappe précise de la pointe de sa cravache. La pince médiane droite vient de sauter, laissant derrière elle la trace d'une fort méchante pincette .
Sous la douleur, le corps de la femme se tord dans ses liens .
« Et d'un » dit-il ...tandis que des larmes sont maintenant bien visibles sur le visage d'Anne mitraillé par le photographe ...
« Au tour de la même à gauche maintenant. C'est toujours un peu plus difficile à gauche» dit-il à la malheureuse ...
Effectivement la cravache s'écrase sur la poitrine sans faire sauter de pince ... «Il faudra recommencer... Désolé Madame» ....
Une à une les trente pinces sautèrent ..au moins cinquante coups de badines furent nécessaires . A chaque coup,Anne tressautai et à deux reprises tout de même elle du être réanimée par Sophie avec le flacon d’ammoniaque...
En professionnel, le Commandant en voulait un peu aux deux soldats : ils avaient un peu exagéré en fixant latéralement les pinces sur les mamelons; plusieurs coups de cravaches furent nécessaires pour les faire sauter,alors que si elles avaient été placées avitaillement,elles auraient du sauter au premier coup ... Enfin,ils étaient jeunes,passablement excités, et il ne pouvaient pas tout savoir ...Et puis, ils avaient bien droit à s'amuser un peu eux aussi ...
Anne se tenait maintenant devant eux le visage plein de larmes, le corps et les seins zébrés de coups de cravaches . Les pinces si violemment arrachées avaient laissées elles aussi des traces cuisantes sur la peau délicate .
Le Commandant ne put s'empêcher de se saisir d'un sein, de le triturer, de le lécher, et d'en sucer le mamelon. Un mamelon qui malgré la douleur ne tarda pas à pointer violemment, accompagné dans son mouvement par le pubis d'Anne, qui entamait inconsciemment sans doute, une danse troublante qui n'échappa pas à l'assistance .
«Entracte ! Elle est à vous» dit-il aux soldats tout en rejoignant son bureau .
Les deux aides se précipitent sur la malheureuse, il est clair qu'ils sont à deux doigts d'exploser et qu'ils vont la violer .
« Un instant, un instant » dit Sophie tentant de les freiner. « Vous n'allez pas y arriver comme çà »... Sans un regard pour la femme torturée, et comme si il s'agissait d'un vulgaire tas de viande, elle lui libère un à un ses bras pour les fixer tout aussitôt dans son dos à un crochet. Ce dernier est fixé au plafond par un palan et en quelques instants, les bras d'Anne se trouvent hissés vers le haut, obligeant ainsi la malheureuse à se courber vers le sol. Sophie s'écarte un peu et contemple le tableau ..
« Venez » dit-elle aux deux soldats, »venez contempler le tableau, regardez comme elle est mieux ainsi »,
Effectivement...la femme adoptait une position bien plus intéressante de la sorte ...En faisant le tour de la malheureuse,elle ne peut pas s’empêcher de commenter la situation à ses deux élèves.
« Vous voyez, comme ça vous pouvez presque tout lui faire et lui demander : vous pouvez vous faire tailler une bonne pipe, vous pouvez la baiser, vous pouvez l'enculer..tout ce que vous voulez ... Si vous voulez la fouetter, je vous conseille le martinet sur le dos et les seins, car vu la tension de la peau, si vous utilisiez une cravache, il y aurait des blessures graves, elle perdrait connaissance, et vous ne pourriez plus vous amuser avec elle.... Le martinet lui par contre ça va...tout le mouvement est dans le poignet et non dans la force de frappe...je vous le rappelle... Pour les fesses par contre je préconise dans cette position la cravache, le nerf de bœuf, la garcette ou la canne de bambou ...Avec ça, non seulement vous pourrez vous amuser un bon bout de temps, mais si pour une raison ou une autre elle devait perdre conscience, pensez que c'est aussi un moyen de réanimation très puissant ... Quand vous serez fatigués, vous l'enculez; dans cette position,elle ne doit plus pouvoir vous offrir grande résistance.... et si elle n'ondule pas assez du cul à votre goût ,utilisez ces gants de crin pour la saisir ... rien ne vaut des gants de crin sur un beau cul fouetté ... Ah oui, les seins... N'oubliez pas les seins... Rien de tels que des solides pinces plombées fixées sur les mamelons ... Je vous conseille le modèle avec des poids de 50 grammes et une petite chaînette de 15 cm...vous verrez c'est très excitant de voir ces poids osciller au rythme où on l'encule..c'est très drôle aussi... et ça fait très mal...Venez,on va les installer... »
Sophie a tôt fait de trouver ce qu'elle cherche...
« Ca va ma belle ? » ,dit elle en attachant les pinces aux deux mamelons d'Anne à peine remise des traitements précédents ...
« Non,Nooon !!! Ca fait mal,horriblement mal !!! Arrètez,je vous en prie !!! Noooon !!!! »
« Ah, ça va mieux comme ça, on ne l'entendait plus...le son est revenu » dit Ilsa . « Bon, les gamins venez ici, regardez ce que je vous avais dit, regardez le cul maintenant. J'enlève le gode. Vous voyez comme il est béant ? Là vous pouvez l'enculer facilement. »
Anne n'en pouvait plus de honte et de désespoir;jamais elle n'aurait cru possible d'être humiliée de la sorte, jamais elle n'aurait cru possible d 'être considérée comme un vulgaire tas de viande ,comme une poupée gonflable vivante... « Nooooon, pas ça.... ». C'est tout ce qu'elle trouvait à dire...
« Ah,ah,ah,ah fit Anne T'as encore rien vu salope !!!!! » lui répond Sophie.
L'un des gamins lui avait déjà pris la bouche, et aussitôt, comme prévu, le deuxième pris place entre ses fesses et l'encula d'un coup jusqu'à la garde.
Ils ne tardèrent pas à changer de position et à explorer sans retenue tous ses orifices, encouragés par Sophie.
« Regardez ses gros nibars !!! 'Regardez comme ils bougent en cadence quand on l'encule !!! Regardez comme ça lui fait mal ! Regardez la grimace qu'elle fait »
Les nichons d'Anne étirés par les poids et les coups de butoir assénés dans son cul lui faisaient souffrir le martyre. Elle était à bout, et soudain elle se laissa aller sans retenue entre les mains de ces deux garçons. Elle ne cacha rien de sa jouissance, sa cyprine dégoulinait sur ses cuisses, ses hurlements de femelle en rut emplissaient la pièce, dominant largement ses plaintes qui jusqu'ici avaient assuré un bruit de fonds fort agréable....
« Tu vois ça salope, tu vois ça comme ils te font jouir ? Tu vois comme ils bandent ? 'Tu vois comme tu les excites ? »
Anne eut plusieurs orgasme de suite avec chacun des gamins, elle ne manqua pas d'en faire part à Sophie...ses hurlements de femelle repue ne pouvait lui échapper ...
Quand tout fut fini,ce n'est plus une femme mais une loque gémissante que les deux gamins détachèrent
« Allez prendre une douche tous » dit Sophie.... »C'est fini pour cette fois » .
Décidément.... Il y a de ces « malades » se dit Gérard en rangeant soigneusement son uniforme de commandant de pacotille dans son casier ... Enfin,...ce travail au Donjon des supplices est bien payé après tout....et nulle part ailleurs, il ne trouverait un tel job étudiant qui en plus, lui permet d'avancer sérieusement dans sa thèse de fin d'études de psychiatrie : « Le besoin d'avilissement de la bourgeoise d'âge mûr » . Tout de même...venir ici avec son mari et ses deux jeunes amants...des gamins de son école en plus...faut être gonflée...enfin...une chose est sûre, tant qu'il y aura de tels dingues pareils , il sera pas au chômage...
Bon autre chose....son mari...faut pas oublier...il lui a promis un double de toutes les photos..il faut qu'il note ça quelque part....!!! Ca illustrera superbement son travail ...Pour sûr qu'il sera fréquemment consulté par les étudiants ....
« Où est-ce que tu veux qu'on aille en Week-end chérie ? »,dit Gérard à Sophie toute occupée à éviter les faux plis en rangeant sa jupe de cuir ? « J'avais pensé t'amener à Venise...Il serait peut-être temps qu'on pense à se marier tu crois pas ? Tiens...Ca me fait penser à quelque chose ...Range pas tes affaires...Prends les avec.. »
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